Jean Portante
Fils de parents italiens, Jean Portante grandit à Differdange. Il fréquente le lycée à Esch-sur-Alzette et fait des études de lettres françaises à Nancy. Il commence par enseigner le français au lycée. À cette époque, il s’engage politiquement au sein de la LCR (Ligue communiste révolutionnaire). Sous le pseudonyme de Fred Lenz paraissent des articles politiques dans Klassenkampf. En 1983, il s’installe à Paris comme écrivain indépendant. Depuis, il vit la plupart du temps en France. Après avoir fait en 1986 la connaissance de la poétesse cubaine Marilyn Bobes – avec qui il sera marié plusieurs années – lors des Soirées poétiques de Struga, en Macédoine, il travaille entre 1987 et 1990 comme éditeur et traducteur à La Havane (Cuba), où il découvre sa propre expression littéraire en échangeant avec des écrivains latino-américains et en créant un langage littéraire qu’il conceptualise à l’aide de la métaphore de la « langue baleine ». Il effectue également un long séjour à Bruxelles de 1996 à 1999.
Jean Portante est écrivain, traducteur, éditeur, journaliste et enseignant au Centre de langues (à présent Institut national des langues). Jean Portante anime des émissions pour Radio 100,7 et fonde le supplément Livres-Bücher en 1996. Entre 1997 et 2019, il est membre de la rédaction et de la direction de l’hebdomadaire Le Jeudi, dans les colonnes duquel il anime les rubriques Les portraits du Jeudi, Un monde immonde et Les mots voyageurs. En outre, il dirige les séries de poésie Graphiti (depuis 1992) et Radiographies (depuis 2002) aux éditions Phi.
Sur le plan littéraire, Jean Portante débute dans les années 1980 en tant que poète, influencé au départ par la poésie française, de Baudelaire au surréalisme. Dans la phase suivante, il se livre à une série d’expériences, en réalisant notamment des collages dans la tradition de la Beat Generation américaine. Depuis la parution du recueil Ouvert fermé (1994), la poésie de Jean Portante se caractérise par une densification au niveau de l’expression poétique et un langage plus concis. Ses sujets de prédilection sont les lieux intermédiaires existentiels et les espaces limites, l’orientation au milieu d’un monde labyrinthique, le rapport entre la mémoire et l’oubli ainsi que sa relation avec une langue littéraire qui n’est pas sa langue maternelle : L'Étrange Langue (2002), Le Travail du poumon (2007), En réalité (2008) et La Réinvention de l‘oubli (2010). Le recueil de poèmes Conceptions (2012) est un hommage littéraire à la défunte mère de l’auteur.
Le volume Le Travail de la baleine (2014) réunit les poèmes de Jean Portante des années 1983 à 2013, c’est-à-dire les trente premières années de sa création littéraire, à l’exception de ses quatre premières œuvres, fortement influencées par de grands modèles. Les poèmes n’y suivent pas l’ordre des recueils originels et sont placés dans un nouvel ordre. Outre la chronologie, celui-ci met en évidence les liens thématiques et les fils conducteurs de l’œuvre poétique de l’auteur. Ce recueil constitue le bilan d'une période de création dont la poétique est étroitement liée à la métaphore de la baleine et que l’auteur considère comme achevée à la suite du tremblement de terre de 2009 à L’Aquila, en Italie, lieu d'origine de sa famille. Les recueils de poésie suivants, La Tristesse cosmique (2017) et Jadis je disait (2021), sont placés sous le signe d’une réorientation de la création poétique et narrative. La maison d’édition française la rumeur libre publie une édition complète de l’œuvre poétique de Portante, dont le premier volume, intitulé Le Travail de l’origine (1986-2004), est sorti en 2022.
À côté de sa poésie en français, Jean Portante écrit des poèmes en langue espagnole durant son séjour à La Havane. Ils ont paru entre autres dans les revues Caïman Barbudo, Casa de las Americas et Dieresis. Les recueils de poésie écrits en italien par Jean Portante L’invenzione dell'ombra (2019) et Tu non c’era ancora (2022) partent respectivement des recueils de poésie francophones La Tristesse cosmique (2017) et Jadis je disait (2021), mais dépassent la simple traduction pour constituer des œuvres à part entière.
En 1999, Jean Portante dédie l’étude Allen Ginsberg. L’Autre Amérique au principal représentant de la Beat Generation, qu’il rencontre par l’intermédiaire de Marilyn Bobes lors des Soirées poétiques de Struga (Macédoine) en 1986. Elle est publiée en traduction serbe sous le titre Druga Amerika en 2021. Portante est également l’éditeur du volume des Œuvres d’Edmond Dune portant sur la poésie, un auteur sur lequel il a publié des articles dans les revues transkrit (2009) et ici é là (2009).
Le deuxième volet dans l’œuvre de Jean Portante est la prose narrative, à laquelle il se consacre depuis la fin des années 1980. Ses récits et ses romans se distinguent par des formes de narration non linéaires. L’auteur aime se livrer à des réflexions sur le processus de l’écriture. Les textes se caractérisent par une intertextualité marquante. Un ouvrage clé est le roman de migration et d’évolution psychologique fortement autobiographique Mrs Haroy ou la Mémoire de la baleine (1993). Il raconte à la première personne l’enfance du narrateur au Luxembourg dans les années 1950. Les conflits d’identité d’un enfant d’immigrés, perdu entre deux mondes culturels et linguistiques, sont racontés sous forme de rétrospective avec le recul acquis à l’âge adulte. Le narrateur mène une réflexion sur la manière dont il a assumé le passé par le biais de l’écriture. Les relations entre la migration, le déracinement, l’entretien du souvenir et la littérature constituent le principal sujet du roman. L’existence précaire de l’immigré entre son pays d’origine et son pays d’accueil est symbolisée par la baleine, un mammifère marin qui, à l’origine, vivait sur la terre ferme. Dans les publications qui suivent, la « langue baleine » – c’est-à-dire la langue italienne qui, du fait de sa transplantation du Sud vers le Nord, « corespire » en permanence avec la langue française que l’auteur a choisie – devient une métaphore poétique centrale de l’écriture de Jean Portante. Mrs Haroy est réédité sous le titre La Mémoire de la baleine par la maison d’édition bordelaise Le Castor Astral en 1999. Une réédition luxembourgeoise paraît en 2008.
Suite au grand tremblement de terre, en 2009, à L’Aquila dans les Abruzzes, d’où sa famille est originaire, il publie avec Anna Maria Galeota un Diario incrociato di un terremoto/Journal croisé d’un tremblement de terre (2010). Le recueil de poésies Après le tremblement (2013) prend pour sujet le tremblement comme ébranlement du lieu de l’origine à un niveau symbolique et suit ses répercussions jusque dans le rapport de l’auteur à son langage poétique. L’ouvrage L’Aquila (2015), quant à lui, est composé d’un texte de Jean Portante et de dessins de David Hébert. La partie texte assemble des entrées d’un « journal d’un tremblement » des années 2009-2013, des souvenirs d’enfance ainsi que des réflexions au sujet d’éléments topographiques et d’épisodes de l’histoire de la ville depuis ses origines sabines et romaines. Le livre a été traduit en italien sous le même titre (L’Aquila, 2017).
C’est également à ce tremblement que fait référence le titre du roman L’Architecture des temps instables (2015), dont la couverture se sert d’une photo prise par l’auteur représentant un échafaudage devant un édifice à L’Aquila. Il s’agit du premier volet d’une trilogie projetée. Le roman raconte d’histoire de quatre générations d’une famille d’origine italienne dispersée dans le monde, entre autres au Luxembourg. À l’aide de plusieurs fils narratifs, racontés à la première personne par différents protagonistes, le roman mène le lecteur non seulement à plusieurs endroits en Europe et à Cuba, mais aussi à travers les méandres de l’histoire familiale et de la relation entre pères et fils. Ce faisant, il écrit l’histoire du XXe siècle « instable », de la Première Guerre mondiale à nos jours, et en sonde les labyrinthes politiques et idéologiques. L’auteur considère que ce roman représente un tournant dans son œuvre narrative, parallèle à celui lancé par le recueil La Tristesse cosmique (2017) dans son œuvre poétique. À la suite du tremblement de terre, la secousse qui a fait vaciller ses origines conduit à une réorientation. Jean Portante conçoit celle-ci comme une rupture avec la « langue baleine » qui avait jusque-là façonné son œuvre littéraire. S’amorce alors une reconstruction de son écriture.
Le roman Leonardo (2019), deuxième volume de la trilogie, est lui aussi une variation sur le thème central de la migration et son parcours potentiellement tragique, à travers son entrelacement avec les évènements de la « grande histoire ». Le récit commence avec l’émigration des frères jumeaux Antonio et Lorenzo Tramagni de San Demetrio respectivement vers le Luxembourg et les États-Unis, à la veille de la Première Guerre mondiale. Le roman met en scène l’histoire de cette émigration ainsi qu’un secret de famille enraciné dans la Seconde Guerre mondiale et encore enfoui, en se basant sur la description de deux branches familiales, une luxembourgeoise et une américaine, depuis la génération des grands-pères à celle des fils, en passant par celle des pères. Avec ses récits imbriqués, ce texte non linéaire en trois parties constitue aussi une variation sur les motifs du roman I promessi sposi d’Alessandro Manzoni, auquel il fait référence de plusieurs façons.
L’œuvre dramatique de Jean Portante comprend le texte de l’ouvrage collectif Le Mariage de Pythagore [1996], la tragédie philosophique Destin destination (1998), Hexaméron. Dernier jour ainsi qu’Orphée au pays des mortels (2011). Le monologue scénique Frontalier est créé en mars 2021 sous la direction de Frank Hoffmann au Théâtre national du Luxembourg. Partant de la situation d’un frontalier français pris dans un embouteillage quotidien vers son lieu de travail au Grand-Duché, la pièce aborde, dans un style poétique, les thèmes de la migration et de la frontière. Il reprend des motifs comme l’histoire des migrations entre l’Italie, le Luxembourg et la Lorraine – caractéristique de l’œuvre de Portante –, mais aussi la menace transfrontalière représentée par la centrale nucléaire de Cattenom ainsi que les odyssées antiques d’Énée et d’Ulysse et comment celles-ci se reflètent dans les tragédies que vivent les réfugiés en Méditerranée de nos jours. Le texte fait allusion par endroits au recueil de poésie Tombeau des anges de Gilles Ortlieb.
L’auteur livre des réflexions poétologiques qui tournent autour des notions de franchissement des frontières et de nomadisme dans son ouvrage Journal de bord (2020), publié dans la série Discours sur la littérature. Son éloge Pierre Joris ou « Pour justifier » la marge, à l’occasion de l’attribution du prix Batty-Weber à Pierre Joris, est publié en 2021 avec le discours d’acceptation de Joris dans un volume de la même série.
Par ailleurs, Jean Portante publie des poèmes, des récits et des essais dans des anthologies luxembourgeoises et des recueils comme Lëtzebuerger Almanach, Poésie internationale, Regards d’écrivains, Bassin minier, Intercity, Au fil du temps, Un siècle d’immigration au Luxembourg, Anthologie poétique amoureuse (2010) et Jours enfantins au royaume du Luxembourg (2010), les anthologies des Journées littéraires de Walferdange, Premières amours (2021) ainsi que l’audioanthologie Le Pays aux trois frontières (Soyons, 2002). Ses poèmes sont également publiés dans des anthologies équatoriennes, françaises, italiennes, néerlandaises et roumaines telles que Hotel Europa. 12 Europese dichters over de euro (Maastricht, 2001), Poèmes accordés (Hazebrouck, 2002), L’ailleurs qui est ici. Première anthologie de poèmes de Confluences poétiques (Pantin, 2005), Ailleurs. Épisode I (Charleville-Mézières, 2009), Anthologie poétique amoureuse (Paris, 2010), Europoesia. Antologia festivalului – Brăila 2016 (Iași, 2016), Memorias. IX Festival Internacional de Poesía de Guayaquil Ileana Espinel Cedeño 2016 (Guayaquil, 2016), Poesía en paralelo cero. 10mo Encuentro Internacional de Poetas en Ecuador – 2018 (Quito, 2018), La Basilica è vostra. Antologia poetica per il Millenario di San Miniato al Monte (Firenze, 2018) et L’Eau entre nos doigts (Montreuil-sur-Mer, 2018).
Jean Portante publie en outre dans des revues luxembourgeoises et internationales, comme abril, Amnios, Les Cahiers luxembourgeois, forum, Galerie, Grénge Spoun, Jalons, Krautgarten, Le Monde n’est pas rond, Le Phare, Prisma latinoamericano (La Havane), le Tageblatt et son supplément Livres-Bücher ainsi que Zeitung vum Lëtzebuerger Vollek.
Jean Portante présente la littérature luxembourgeoise à un public francophone international par le biais de recueils de textes, comme le dossier La littérature luxembourgeoise d’aujourd’hui dans la revue littéraire francophone Europe, l’Anthologie luxembourgeoise (Echternach, Trois-Rivières, 1999) ou encore Lignes de partage. 22 poètes du Luxembourg (Paris 2021). Il est cofondateur et coéditeur de la revue Inuits dans la jungle (Pantin, depuis 2008) et directeur littéraire de la revue transkrit (2009-2018) du centre culturel Kulturfabrik à Esch-sur-Alzette.
Jean Portante réalise également des traductions vers le français de textes poétiques et narratifs. Il a traduit notamment du luxembourgeois le roman Mass mat dräi Hären de Guy Rewenig (La Cathédrale en flammes) ou des recueils de poésie de Stefano Benni, Pierre Joris, Jorge Boccanera, Piedad Bonnett, Ulrike Draesner, Tiziano Fratus, Alexis Gómez Rosa, Reina María Rodríguez, Victor Rodríguez Núñez, Jerome Rothenberg, Daniel Samoilovich, Tsveta Sofronieva, Jovan Zivlak et Juan Gelman à partir de l’allemand, de l’anglais, de l’espagnol, de l’italien et du serbe. Sous le titre Avec du soleil sous la semelle, il établit et traduit vers le français, en 2016, une anthologie bilingue de poésie mexicaine contemporaine. En 2018, il fait paraître l’anthologie de poètes de langue allemande Oscuro es el interior de la boca. Catorce poetas de la lengua alemana de hoy (México), qu’il préface et cotraduit en espagnol. Nico Helminger figure parmi les auteurs rassemblés dans le recueil. En outre, Jean Portante traduit ou cotraduit des textes divers à partir de l’allemand, de l’italien, du portugais, du roumain, du slovaque et du turc. Il a également écrit la préface de Voz que madura. La poesía iberoamericana a través de sus poetas (Puebla, 2018), un volume d’entretiens avec des écrivains latino-américains.
Les œuvres de Jean Portante, qu’il s’agisse de textes individuels ou de livres entiers, ont été traduites dans de nombreuses langues. Ainsi, Ouvert fermé est publié en espagnol et en italien. Effaçonner, La Réinvention de l’oubli et Conceptions (2018) sont édités en espagnol. Point est traduit en anglais et en allemand, tandis que Mrs Haroy ou la Mémoire de la baleine paraît en roumain, en italien, en allemand, en hongrois et en portugais. Enfin, Mourir partout sauf à Differdange est édité en roumain et L’Arbre de la disparition traduit en arménien (2008).
a traduit quelques poèmes pour le magazine Bihor en bosniaque (2012). Deux volumes choisis des poèmes de Jean Portante traduits en espagnol ont été publiés en 2019 sous les titres La reinvención de la sombra (Barcelone) et El trabajo de la sombra (La Paz).En 1987, Jean Portante fonde le Festival international de poésie à Luxembourg en collaboration avec Pierre Joris. De 1995 à 2003, il est coorganisateur des Journées littéraires de Mondorf avec Anise Koltz. En 1996, il fait partie des fondateurs de l’Académie européenne de poésie, qu’il quitte en 2006. Jean Portante est aussi membre du PEN Club français, du jury du prix Apollinaire et de l’Académie Mallarmé. Il a été pendant un moment membre de la LSV.
Jean Portante a reçu un grand nombre de prix et distinctions littéraires. En 1990, il est récompensé au Concours littéraire national. En 1986, il se voit remettre le prix Rutebeuf pour Horizon, vertige & Italie intercalaire et, en 1993, le prix Tony-Bourg pour Ouvert fermé. En 1994, Mrs Haroy ou la Mémoire de la baleine lui vaut le prix Servais. En 2003, il reçoit le prix Mallarmé pour L’Étrange Langue et, la même année, la Société des gens de lettres lui décerne le prix de poésie Louis-Montalte pour l’ensemble de son œuvre poétique. En 2011, il se voit attribuer le prix Batty-Weber pour son œuvre, et il est auteur en résidence à la médiathèque de Florange (F). Pour son roman L’Architecture des temps instables, il reçoit le prix Servais en 2016. Comme Pol Greisch, Nico Helminger et Guy Rewenig, il fait ainsi partie des écrivains ayant reçu ce prix à deux reprises.
Publications
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Titre Feu et BoueAnnée1983
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Année1984
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Titre MéandresAnnée1985
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Année1986
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Année1987
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Année1990
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Année1991
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Année1993
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Titre Ouvert fermé. PoèmesAnnée1994
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Année1995
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Année1996
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Titre Hiver clinique. PoèmesAnnée1996
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Année[1996]
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Année1997
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Année1997
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Année1997
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Année1997
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Année1998
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Année1999
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Année1999
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Année1999
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Année1999
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Titre Point. PoèmesAnnée1999
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Année2001
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Titre La Pluie comme un œilAnnée2001
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Titre L'Étrange LangueAnnée2002
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Année2002
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Année2002
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Année2003
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Année2003
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Année2004
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Titre Rue du NordAnnée2004
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Année2004
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Année2005
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Titre L'histoire est finieAnnée2005
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Année2005
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Année2006
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Année2007
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Titre Le Travail du poumonAnnée2007
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Année2008
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Année2008
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Titre Ce qui advient et ce qui n'advient pas. Avec 12 sérigraphies de Robert Brandy [édition bilingue].Année2010
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Année2010
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Année2010
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Année2010
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Titre María MarioshAnnée2010
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Année2011
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Année[2011]
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Année2012
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Titre L'Amant mondial. Poèmes 1962-1965. Présenté et traduit de l'espagnol (Argentine) par Jean PortanteAnnée2012
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Titre Après le tremblementAnnée2013
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Année2013
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Année2013
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Année2013
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Année2013
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Année2014
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Année2014
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Année2014
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Année2014
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Titre L'AquilaAnnée2015
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Année2015
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Titre Le Flou des animaux = Animales borrosos. Traduction de l'espagnol (Argentine) par Jean PortanteAnnée2015
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Année2015
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Année2015
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Année2015
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Année2015
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Année2016
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Année2016
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Année2017
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Année2017
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Année2017
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Titre LeonardoAnnée2019
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Titre L’invenzione dell’ombraAnnée2019
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Année2020
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Titre FrontalierAnnée2021
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Titre Jadis je disait. PoésieAnnée2021
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Année2021
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Année2022
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Année2022
Participations diverses
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Année1996
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Année2009
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Titre Œuvres. Tome 1: PoésieAnnée2011
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Année2013
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Titre Scritti senza preteseAnnée2017
Traductions
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Langue POR
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Titre Abierto Cerrado. PoemasLangue SPA
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Langue SRP
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Langue ITA
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Langue FRE RUM
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Titre Ce qui advient et ce qui n'advient pas. Avec 12 sérigraphies de Robert Brandy [édition bilingue].Langue FRE ENG
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Langue DEU
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Langue SPA FRE
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Langue DEU
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Titre În realitate. PoemeLangue RUM
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Langue ENG
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Titre I quattro tremori del giardino. Poesie = Les quatre tremblements du jardin [édition bilingue]]Langue ITA FRE
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Langue ITA
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Langue ITA
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Langue SPA
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Langue FRE ITA
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Langue RUM
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Langue HUN
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Langue ITA
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Langue SPA
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Langue POR
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Titre Point = ErasingLangue ENG
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Langue RUM
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Titre TočkiLangue BUL
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Langue SLO
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Langue SRP
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Langue ARM
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Langue ARM
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Langue ARM
Collaboration à des périodiques
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Titre des périodiquesabrilNoms utilisésJean Portante
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Titre des périodiquesCahiers luxembourgeois (Les). revue libre des lettres, des sciences et des artsNoms utilisésJean Portante
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Titre des périodiquesEurope. revue littéraire mensuelleNoms utilisésJean Portante
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Titre des périodiquesforum. fir kritesch Informatioun iwer Politik, Kultur a ReliounNoms utilisésJean Portante
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Titre des périodiquesGalerie. Revue culturelle et pédagogiqueNoms utilisésJean Portante
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Titre des périodiquesJeudi (Le). l'hebdomadaire luxembourgeois en françaisNoms utilisésJean Portante
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Titre des périodiquesKlassenkampf. Zentralorgan der Ligue communiste révolutionnaireNoms utilisésFred Lenz
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Titre des périodiquesKrautgarten. Forum für junge Literatur im deutschen SprachgebietNoms utilisésJean Portante
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Titre des périodiquesLëtzebuerger Almanach. Red.: Georges Hausemer ; Gestalt.: Heng KetterNoms utilisésJean Portante
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Titre des périodiquesLivres - Bücher. Un supplément du TageblattNoms utilisésJean Portante
J.P. -
Titre des périodiquesPhare (Le). Kulturelle Beilage - Point de vue culturelNoms utilisésJean Portante
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Titre des périodiquesTageblatt / Escher Tageblatt = Journal d'Esch. Zeitung fir LëtzebuergNoms utilisésJean Portante
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Titre des périodiquestranskrit. Revue littéraire - Zeitschrift für LiteraturNoms utilisésJean Portante
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Titre des périodiqueswoxx (Grénge Spoun). déi aner Wochenzeitung = l’autre hebdomadaireNoms utilisésJean Portante
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Titre des périodiquesZeitung vum Lëtzebuerger Vollek / Zeitung vum Letzeburger Vollek / ZLV. Zentralorgan der KPLNoms utilisésJean Portante
Études critiques
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Auteur(e) ga (Guy Assa)
Année1984 -
Auteur(e) Jean Reiter
Année1988 -
Auteur(e) Frank Wilhelm
Année1990
Distinctions
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Année 1986
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Année 1986
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Année 1990
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Année 1992
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Nom Prix Tony BourgAnnée 1993
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Nom Prix ServaisAnnée 1994
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Année 2003
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Nom Prix MallarméAnnée 2003
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Année 2010
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Année 2011
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Année 2012
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Année 2014
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Nom Prix ServaisAnnée 2016
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Année 2017
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Année 2019
Membre
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Académie européenne de poésie
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A:LL Schrëftsteller*innen
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LSV - Lëtzebuerger Schrëftstellerverband [1986-2016]
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Mondorfer Dichtertage
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PEN Club français
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Printemps des Poètes - Luxembourg
Archives
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CNL L-0175
Liens externes
Galerie photos
Citation:
Pierre Marson, « Jean Portante », sous : , mise à jour du 02.01.2023, consulté le . -